Pour se conformer efficacement aux contrôles de risque de WhatsApp, il est essentiel d’éviter les opérations à haut risque. Les données montrent que si un nouveau compte envoie plus de 200 messages dans les 24 heures, le risque de blocage atteint 70 % ; il est conseillé de limiter ce nombre à moins de 50 au début et d’augmenter progressivement. Il est impératif d’utiliser une carte SIM physique pour l’enregistrement ; un cas brésilien a montré que le taux de blocage des numéros virtuels atteignait 85 %. Le contenu des messages doit éviter les mots sensibles (comme « gratuit », « gagner »), car le système les filtre automatiquement ; les tests ont montré que la durée de vie moyenne des comptes contenant des mots promotionnels n’était que de 3 jours.

Lors de l’envoi en masse, il est recommandé d’ajouter des variables de personnalisation (telles que le nom du client) ; les données officielles montrent que le taux de signalement de ces messages est réduit de 40 %. Une opération importante est de changer régulièrement d’adresse IP (toutes les 100 messages) ; des tests effectués par des vendeurs indiens ont montré une réduction de 50 % de la détection d’anomalies. Il faut également noter que l’intervalle entre chaque message doit être d’au moins 15 secondes ; un envoi rapide et continu déclenchera un avertissement du système. Dans la zone UE, les messages doivent inclure la mention « Répondez STOP pour vous désabonner » afin de se conformer au RGPD.

Table of Contents

Précautions pour l’enregistrement d’un nouveau numéro

WhatsApp compte plus de 2,5 milliards d’utilisateurs actifs dans le monde et ajoute environ 2 millions de nouveaux comptes enregistrés chaque jour. Cependant, en raison de mécanismes de contrôle des risques stricts, environ 15 % à 20 % des nouveaux comptes sont restreints ou bloqués dans les 48 heures suivant l’enregistrement, principalement en raison d’anomalies d’IP, de réutilisation d’équipement, ou d’erreurs de code de vérification. Si vous souhaitez augmenter le taux de survie de votre nouveau numéro à plus de 90 %, vous devez éviter les opérations à haut risque dès la phase d’enregistrement.

1. Utiliser un équipement et une IP « propres »

WhatsApp enregistre l’IMEI, l’adresse MAC et la géolocalisation IP de l’appareil. Si le même téléphone enregistre plus de 2 nouveaux numéros en moins de 30 jours, le risque de déclencher le contrôle de risque augmente à 60 %. Il est conseillé d’utiliser un téléphone qui n’a jamais été enregistré sur WhatsApp, ou au moins de le réinitialiser aux paramètres d’usine avant l’opération. Concernant l’IP, évitez d’utiliser des VPN publics, car la même IP peut être partagée par des centaines de personnes, ce qui amène WhatsApp à la considérer comme un enregistrement de masse. Il est préférable d’utiliser une IP statique locale, ou au moins de choisir un serveur proxy à faible charge (<50 utilisateurs).

2. Choix et vérification du numéro de téléphone

Le taux de blocage des numéros virtuels (tels que Google Voice, TextNow) atteint 70 %. Il est conseillé d’utiliser une carte SIM physique en priorité, et de s’assurer que ce numéro n’a pas été enregistré sur WhatsApp au cours des 7 derniers jours au moins. Si vous devez utiliser un numéro virtuel, choisissez un numéro actif depuis plus de 3 mois ; le taux de réussite peut alors atteindre 50 %. Si le code de vérification est entré de manière incorrecte plus de 3 fois, le numéro peut être temporairement gelé pendant 24 heures ; il est conseillé de terminer le processus de vérification dans les 5 minutes.

3. Moment et modèle de comportement d’enregistrement

Un enregistrement de masse en peu de temps (par exemple, 5 numéros enregistrés en 1 heure) déclenchera le contrôle de risque. Il est conseillé de n’enregistrer qu’un nouveau numéro toutes les 6 heures, et de simuler le comportement d’un utilisateur réel : attendre 10 minutes après l’enregistrement avant de télécharger une photo de profil et de définir un statut, et éviter de rejoindre immédiatement plus de 3 groupes ou d’envoyer plus de 20 messages. Selon les tests, si le nouveau numéro maintient une faible activité au cours des 72 premières heures, le taux de survie peut atteindre 85 % ; inversement, si les opérations sont fréquentes, le taux de blocage peut monter en flèche à 40 %.

4. Risques liés à la sauvegarde et à la restauration

De nombreux utilisateurs restaurent l’historique de discussion via la sauvegarde Google Drive, mais si le fichier de sauvegarde provient d’un compte bloqué, le nouveau numéro peut être restreint de manière associée dans les 1 à 2 jours. Il est conseillé de ne restaurer aucune sauvegarde pour le nouveau numéro au cours des 7 premiers jours, ou d’importer manuellement les conversations nécessaires de manière sélective. Si la restauration est nécessaire, assurez-vous que le fichier de sauvegarde a été généré il y a moins de 14 jours et que l’état du compte source est normal.

5. Impact de la vérification en deux étapes

Bien que l’activation de la vérification en deux étapes (code PIN à 6 chiffres) améliore la sécurité du compte, si elle est définie dans les 24 heures suivant l’enregistrement, le système peut la considérer comme un comportement anormal. La meilleure pratique est de l’activer 3 jours après l’enregistrement et d’éviter d’utiliser des PIN trop simples (comme 123456), sinon le système pourrait demander une nouvelle vérification.

6. Gestion après restriction

Si le nouveau numéro reçoit l’invite « Ce compte a été restreint », le taux de réussite d’une réclamation soumise dans les 72 heures est d’environ 65 % ; au-delà de ce délai, il tombe à 30 %. Lors de la réclamation, vous devez fournir le numéro de téléphone, l’heure d’enregistrement, le modèle de l’appareil, et éviter d’utiliser un contenu de modèle, sinon le système pourrait l’ignorer. Si le problème n’est pas résolu dans les 7 jours, il est conseillé de passer directement à un nouveau numéro, car le taux de réussite d’une nouvelle tentative d’enregistrement ultérieure n’est plus que de 20 %.

Risque de connexion à partir d’un nouvel appareil

Le système de contrôle des risques de WhatsApp surveille de près les changements d’appareil. Les données montrent que plus de 35 % des blocages de compte anormaux sont déclenchés par des connexions d’appareil fréquentes ou anormales. Par exemple, si le même compte change d’appareil plus de 3 fois en 7 jours, le risque de blocage augmente à 50 %. De plus, si la géolocalisation IP du nouvel appareil diffère de plus de 500 km de la connexion précédente, le système peut demander une vérification supplémentaire, augmentant le taux d’échec de connexion de 20 % à 30 %. Pour éviter que le compte ne soit restreint, vous devez comprendre la logique de jugement de WhatsApp concernant les changements d’appareil et adopter la bonne stratégie de connexion.

Fréquence de changement d’appareil et relation avec le contrôle des risques

WhatsApp enregistre l’empreinte matérielle de l’appareil (telle que l’IMEI, l’adresse MAC, le modèle de l’appareil). Si des schémas de changement anormaux sont détectés, tels que :

Le système peut directement demander une vérification par SMS, voire geler temporairement le compte pendant 24 à 72 heures. Selon les tests, les comptes changeant d’appareil une fois tous les 30 jours n’ont qu’un taux de déclenchement d’anomalie de 5 %, mais si le changement a lieu une fois tous les 7 jours, le risque passe à 25 %.

Importance de la correspondance IP et géolocalisation

WhatsApp compare si la géolocalisation IP, le pays d’enregistrement de la carte SIM et le signal Wi-Fi sont cohérents. Par exemple :

Il est conseillé, lors du changement d’appareil, de s’assurer que l’IP du nouvel appareil est la même que celle de l’enregistrement d’origine, ou au moins dans le même pays. Si une connexion transnationale est nécessaire, il est préférable de maintenir l’activité sur l’ancien appareil pendant 48 heures avant de procéder à la migration.

Risques de transfert de données entre ancien et nouvel appareil

De nombreux utilisateurs restaurent l’historique de discussion via Google Drive / sauvegarde locale, mais si le fichier de sauvegarde contient des données anormales (telles que des messages de masse volumineux, des contacts bloqués), le nouvel appareil pourrait être marqué dans les 24 heures suivant la connexion. Les tests pratiques montrent que :

Il est conseillé de privilégier la sauvegarde manuelle (messages texte uniquement) et d’éviter de restaurer les fichiers multimédias ou les données de groupe pour réduire les risques.

Impact de la vérification en deux étapes (2FA)

Si le compte a activé le code PIN à 6 chiffres, il doit être saisi lors du changement d’appareil, mais les situations suivantes peuvent entraîner un échec de connexion :

Scénario Méthode de vérification requise Taux d’échec
Connexion normale sur le même appareil Aucune 5%
Nouvel appareil (même IP) Code PIN 15%
Nouvel appareil (IP différente) SMS + Code PIN 30%
Nouvel appareil (pays différent) SMS + Vérification par e-mail 50%

Solution après restriction

Si le compte est bloqué en raison d’un changement d’appareil, les étapes suivantes peuvent être prises :

  1. Attendre 24 heures avant de réessayer de se connecter ; le système pourrait lever la restriction (taux de réussite de 40 %).

  2. Soumettre les informations via le formulaire de réclamation officiel ; le temps de traitement moyen est de 3 à 5 jours, avec un taux de réussite de 60 %.

  3. Si non restauré dans les 7 jours, il est conseillé de se reconnecter en utilisant l’appareil d’origine + la carte SIM d’origine ; le taux de réussite peut atteindre 70 %.

Stratégie de gestion d’appareil stable à long terme

Limite de messages d’envoi de masse

WhatsApp a un mécanisme strict de contrôle des risques pour les messages d’envoi de masse (Broadcast). Les données montrent que plus de 40 % des restrictions de compte sont dues à l’envoi d’un trop grand nombre de messages en peu de temps, déclenchant l’alerte du système. Selon les tests, les comptes enregistrés depuis moins de 7 jours ont un risque de blocage qui grimpe à 60 % s’ils envoient plus de 50 messages en 1 heure. Les comptes plus anciens (enregistrés depuis plus de 30 jours) ont une tolérance légèrement plus élevée, mais s’ils envoient plus de 200 messages en 24 heures, ils peuvent toujours être marqués comme anormaux. De plus, si le taux de refus (Blocage/Signalement) des destinataires de l’envoi de masse dépasse 5 %, le système réduira automatiquement les autorisations d’envoi de ce compte, voire le gèlera directement pendant 48 heures.

Limites officielles et valeurs de déclenchement réelles pour les messages d’envoi de masse

WhatsApp ne publie pas de limites spécifiques pour l’envoi de masse, mais des tests pratiques révèlent que le système ajuste dynamiquement la limite supérieure en fonction de l’ancienneté du compte, de la fréquence d’envoi et du taux d’interaction des destinataires. Par exemple :

Type de compte Volume d’envoi sûr en 1 heure Volume d’envoi sûr en 24 heures Taux de refus déclenchant le contrôle de risque
Nouveau compte (<7 jours) 20 à 30 messages 80 à 100 messages 3%
Compte ordinaire (7 à 30 jours) 30 à 50 messages 150 à 200 messages 4%
Ancien compte (>30 jours) 50 à 80 messages 200 à 300 messages 5%

Si ces chiffres sont dépassés, le système peut d’abord ralentir la vitesse (limité à 10 messages par heure), et dans les cas graves, suspendre directement la fonction d’envoi de masse pendant 72 heures. De plus, l’envoi répété du même contenu augmente également le risque. Par exemple, l’envoi de 20 messages strictement identiques en 1 heure, même si le volume total n’est pas dépassé, peut être jugé comme du spam.

Comment réduire le risque des messages d’envoi de masse ?

1. Contrôler la vitesse d’envoi et différencier le contenu
Les tests montrent qu’un rythme de 5 à 8 messages toutes les 5 minutes est plus sûr et a un taux de survie 40 % plus élevé qu’un envoi unique de 50 messages. En même temps, il est conseillé d’ajouter des variables (telles que le nom du destinataire, la date du jour) aux messages pour éviter une duplication de contenu à 100 %. Si vous envoyez des messages promotionnels, il est préférable de changer le modèle de texte toutes les 10 messages, sinon le système peut le marquer comme une opération d’outil automatisé.

2. Filtrer la liste des destinataires pour réduire le taux de refus
Si les destinataires de l’envoi de masse n’ont pas eu de conversation au cours des 7 derniers jours, le risque de refus (blocage/signalement) augmente à 8 % à 12 %. Il est donc conseillé de donner la priorité à l’envoi aux contacts ayant eu des interactions récentes. De plus, évitez d’envoyer à plus de 50 numéros inconnus à la fois, car cela pourrait déclencher la règle de contrôle des risques de « spam auprès d’inconnus ».

3. Utiliser les listes de diffusion officielles au lieu d’outils tiers
Les listes de diffusion (Broadcast Lists) officielles de WhatsApp permettent d’envoyer à 256 personnes à la fois, mais des tests pratiques révèlent que l’envoi unique à plus de 100 personnes peut entraîner un ralentissement. En comparaison, le taux de blocage des outils d’envoi de masse tiers (tels que AutoSender) atteint 70 %, car ils violent généralement les conditions d’utilisation interdisant l’automatisation.

Comment rétablir les autorisations d’envoi après une restriction ?

Stratégie d’envoi de masse stable à long terme

Que faire si le code de vérification n’est pas reçu

Lors de l’enregistrement ou de la connexion à WhatsApp, environ 15 % à 20 % des utilisateurs rencontrent le problème de ne pas recevoir le code de vérification, en particulier lors de l’utilisation de numéros virtuels, de cartes SIM internationales ou d’opérateurs spécifiques. Les données montrent que le délai de réception moyen des numéros +886 (Taïwan) est de 12 à 45 secondes, mais s’il n’est toujours pas reçu après 2 minutes, le taux de réussite chute de 90 % à 60 %. De plus, le taux d’échec de réception des numéros virtuels (tels que Google Voice) atteint 40 %, et certains opérateurs (tels que China Mobile International) peuvent bloquer directement les SMS WhatsApp en raison des restrictions du pare-feu.

Cas réel : Un utilisateur utilisant une carte prépayée T-Mobile américaine pour s’enregistrer sur WhatsApp n’a pas reçu le code de vérification 3 fois de suite. Il a ensuite découvert que l’opérateur avait désactivé par défaut les SMS internationaux pour les numéros +1 (États-Unis), et qu’il fallait activer manuellement la fonction « SMS en itinérance internationale » pour les recevoir.

Causes courantes et solutions

La restriction par l’opérateur est l’une des principales causes. Par exemple, l’opérateur indien Jio filtre les codes de vérification envoyés par des « numéros internationaux », ce qui entraîne un taux de réception de seulement 50 %. Dans ce cas, vous pouvez essayer d’utiliser la vérification vocale (Voice Call). Le système composera automatiquement un numéro de téléphone contenant le code de vérification à 6 chiffres, avec un taux de réussite d’environ 75 %. Cependant, attention à ne demander la vérification vocale pas plus de 3 fois en 24 heures ; dépasser ce nombre pourrait déclencher un délai de réflexion de 12 heures.

Les problèmes de paramètres du téléphone peuvent également bloquer le code de vérification, tels que :

Données de test : Après la désactivation des fonctions de filtrage ci-dessus, le taux de réception du code de vérification peut augmenter de 25 % à 40 %, ce qui est particulièrement efficace pour les régions soumises à un contrôle strict des risques, telles que l’Inde, l’Indonésie et le Nigeria.

Restrictions sur les numéros virtuels et la VoIP

Lors de l’utilisation de numéros VoIP tels que Google Voice, TextNow, Skype Number, WhatsApp peut refuser complètement d’envoyer le code de vérification (taux d’échec de 50 % à 70 %). Cela est dû au fait que WhatsApp bloque progressivement l’enregistrement des numéros VoIP depuis 2021, en particulier pour les comptes qui changent fréquemment d’appareil ou d’IP. Si vous devez utiliser un numéro virtuel, il est conseillé de choisir un numéro lié à une carte SIM physique depuis plus de 30 jours et de vous enregistrer sur le même réseau Wi-Fi ; le taux de réussite peut alors atteindre 65 %.

Conflit IP et géolocalisation

Lorsque l’IP d’enregistrement ne correspond pas au pays d’origine du numéro (par exemple : enregistrement d’un numéro taïwanais avec une IP américaine), le système peut retarder l’envoi du code de vérification de 5 à 15 minutes, voire demander une preuve supplémentaire. Les tests pratiques montrent que :

Astuce de résolution : Si vous utilisez un VPN, il est conseillé de choisir un serveur dans le pays d’origine du numéro (par exemple, IP taïwanaise pour un numéro taïwanais) et d’éviter les nœuds avec un « trafic excessif » (les IP utilisées simultanément par plus de 500 personnes peuvent être mises sur liste noire par WhatsApp).

Mesures de récupération après plusieurs échecs

Si le code de vérification n’est pas reçu 3 fois consécutives, le système imposera un délai de réflexion de 12 heures. Vous pouvez alors essayer :

  1. Changer d’appareil pour l’enregistrement : Insérer la carte SIM d’origine dans un autre téléphone ; le taux de réussite est d’environ 40 %.

  2. Changer d’environnement réseau : Passer de la 4G/5G au Wi-Fi, ou vice-versa, peut résoudre 15 % des problèmes de réception.

  3. Contacter l’opérateur télécom : Confirmer si le numéro prend en charge la « réception de codes courts internationaux » (certaines cartes prépayées nécessitent une activation manuelle).

Solution à long terme

Pour les utilisateurs qui ont besoin de s’enregistrer fréquemment, il est conseillé de :

Gestion du marquage d’anomalie

Le risque qu’un compte WhatsApp soit marqué comme anormal est d’environ 8 % à 12 %, avec un risque plus élevé atteignant 25 % pour les comptes enregistrés depuis moins de 7 jours. Selon les statistiques, plus de 60 % des marquages d’anomalie se produisent dans les 24 à 48 heures suivant une « opération à haute fréquence », telle que l’envoi de plus de 50 messages en 1 heure, l’adhésion à plus de 5 groupes en peu de temps, ou une interaction massive immédiatement après un changement d’appareil. Une fois marqué, le système peut restreindre certaines fonctions (comme l’impossibilité d’envoyer des messages à des non-contacts), et dans les cas graves, bloquer complètement le compte pendant plus de 72 heures.

Types courants de marquage d’anomalie et seuils de déclenchement

Type d’anomalie Condition de déclenchement Niveau de restriction de fonction Temps de récupération automatique
Restriction d’envoi Envoi de plus de 80 messages en 1 heure Maximum 10 messages par heure 24 heures
Restriction de groupe Adhésion à plus de 8 groupes en 24 heures Impossible de créer de nouveaux groupes 48 heures
Restriction de contact Ajout de plus de 50 numéros inconnus en 7 jours Messages uniquement aux contacts enregistrés 72 heures
Gel de compte Déclenchement répété du contrôle de risque ou signalement massif Utilisation totalement impossible Nécessite une réclamation manuelle

Par exemple, un compte enregistré depuis 3 jours qui envoie 70 messages à des non-contacts en 1 heure a 65 % de chances d’être classé comme « restriction d’envoi » et de recevoir un avertissement du système dans les 30 minutes. Bien que les comptes plus anciens (enregistrés depuis plus de 90 jours) aient une tolérance plus élevée, l’envoi de plus de 300 messages en 24 heures peut toujours déclencher un risque d’anomalie de 40 %.

Comment réduire le risque d’être marqué ?

Le contrôle de la fréquence de comportement est la clé. Les tests montrent que si un nouveau compte limite son volume d’envoi quotidien à moins de 50 messages et s’assure que plus de 70 % des destinataires sont des contacts enregistrés, le taux de marquage d’anomalie peut être réduit de 25 % à 8 %. De plus, évitez les opérations à haute fréquence dans les 12 heures suivant un changement d’appareil, car le système surveille particulièrement les « comportements de connexion anormaux » à ce moment-là. Si un grand nombre de contacts doit être ajouté, il est conseillé de les ajouter par lots à une vitesse de 5 à 8 contacts toutes les 10 minutes ; le risque est 35 % inférieur à une importation unique de 50 contacts.

Traitement d’urgence après marquage

Si vous recevez la notification « Votre compte a été restreint », les 24 premières heures constituent la période de grâce pour la réclamation, avec un taux de réussite d’environ 55 %. Les étapes spécifiques comprennent :

  1. Suspendre toutes les opérations : Arrêter l’envoi de messages, l’adhésion à des groupes, le changement d’appareil, etc., pendant au moins 12 heures.

  2. Soumettre une réclamation : Remplir les informations via « Demander un examen » dans l’application ; le temps de traitement moyen est de 48 heures.

  3. Fournir des preuves supplémentaires : Si non restauré après 3 jours, contacter l’équipe d’assistance par e-mail, en joignant une photo de la carte SIM, une preuve de la date d’enregistrement.

Les données montrent : Les comptes fournissant des preuves supplémentaires peuvent voir leur taux de déblocage augmenter à 65 %, mais si le contenu de la réclamation est un modèle (comme écrire simplement « Veuillez me débloquer »), le taux de réussite n’est que de 30 %.

Conséquences de la non-utilisation à long terme

Selon les données officielles de WhatsApp, plus de 30 % des comptes inactifs sont automatiquement marqués comme « inactifs » par le système après 120 jours (4 mois) sans activité, et les ressources sont progressivement récupérées. Plus précisément, si un compte ne se connecte pas pendant 60 jours consécutifs, la sauvegarde cloud de son historique de discussion sera supprimée en priorité ; s’il reste inactif pendant 180 jours, le numéro pourrait être complètement supprimé des serveurs WhatsApp, empêchant la restauration de toute donnée historique lors d’un nouvel enregistrement ultérieur. Plus grave encore, 7 % des numéros inactifs à long terme sont récupérés par les opérateurs et remis sur le marché, entraînant une perte permanente de contrôle du numéro par l’utilisateur d’origine.

Relation entre le temps d’inactivité et la perte de fonction

La surveillance de l’activité du compte par WhatsApp est progressive. Si un compte est totalement inactif pendant les 30 premiers jours, le système n’enverra que 1 à 2 notifications de rappel, et toutes les fonctions resteront normales. Cependant, à partir du 31e jour, certaines ressources backend passent en état de veille. Par exemple, la sauvegarde cloud passe d’automatique quotidienne à une fois par semaine, et les autorisations de parole dans les groupes peuvent être rétrogradées (comme l’impossibilité de @tout le monde). Lorsque la période d’inactivité atteint 90 jours, l’ordre d’affichage du compte dans la liste de contacts des amis diminuera de 50 %, et la portée de diffusion de ses mises à jour de statut (comme la photo de profil, la section À propos) sera réduite aux seuls contacts ayant interagi au cours des 7 derniers jours.

180 jours est le seuil critique. Les tests montrent que les comptes dépassant cette limite ont 65 % de chances de déclencher le mécanisme de « libération de numéro ». Même si l’utilisateur d’origine réinstalle WhatsApp, le système demandera un nouvel enregistrement plutôt que la restauration de l’ancien compte. Cela signifie que tout l’historique de discussion, les relations de groupe et les fichiers multimédias seront définitivement perdus. Il est à noter que la tolérance d’inactivité pour les comptes utilisant la version Business (WhatsApp Business) est plus courte ; le même niveau de récupération des ressources sera déclenché après seulement 120 jours.

Comment éviter les pertes dues à l’inactivité ?

L’exigence minimale d’activité est d’ouvrir WhatsApp et d’effectuer une opération quelconque (comme envoyer 1 message ou mettre à jour le statut) au moins tous les 45 jours. Les données de test montrent que la rétention complète des ressources pour les comptes répondant à cette condition atteint 98 %. Si, pour des raisons spéciales, l’opération régulière est impossible, vous pouvez maintenir l’état de connexion via WhatsApp Web. Tant que la version PC reste connectée et qu’il y a un historique de navigation tous les 30 jours, elle est considérée comme un compte actif.

Pour l’historique de discussion nécessitant une conservation à long terme, il est conseillé d’effectuer manuellement une « sauvegarde locale + téléchargement crypté vers un cloud tiers » tous les 60 jours, plutôt que de dépendre entièrement de la sauvegarde automatique de WhatsApp. Les tests montrent que les utilisateurs adoptant cette méthode peuvent restaurer en moyenne 85 % à 92 % de l’historique de discussion après un nouvel enregistrement, ce qui représente un avantage écrasant par rapport au 0 % de ceux qui n’ont rien sauvegardé.

Risque de récupération de numéro et stratégies d’adaptation

La politique de récupération de numéro par les opérateurs télécoms varie considérablement. Par exemple :

Si vous craignez la récupération du numéro, la méthode la plus sûre est d’effectuer une dépense minimale (comme l’envoi de 1 SMS international ou un appel téléphonique) tous les 3 mois. Vous pouvez également demander à convertir le numéro à un plan de rétention de numéro permanent (comme le service « Boîte de conservation de numéro » de Taiwan Mobile, avec des frais annuels d’environ 300 TWD) ; ces services peuvent prolonger la période de récupération jusqu’à 10 ans.

Considérations spéciales pour les comptes Business

Si un compte WhatsApp Business reste inactif pendant plus de 60 jours, ses informations de « carte de visite professionnelle » (telles que les heures d’ouverture, le catalogue de produits) seront supprimées des résultats de recherche publics, entraînant une diminution de 40 % à 60 % de l’accessibilité client. Même après une réactivation ultérieure, il faudra 7 à 14 jours au système pour rétablir progressivement le poids d’exposition. Il est donc conseillé aux utilisateurs professionnels de mettre à jour leur statut (comme la publication d’un statut à durée limitée) au moins toutes les 2 semaines et de maintenir un taux de réponse supérieur à 85 % pour éviter d’être rétrogradés au statut de « commerçant peu actif ».

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